Archives janvier 2018

    • Séminaire – Interfaces – Visualisation de la donnée
    • Publié le 29 janvier 2018 par Gérald Kembellec dans
    • Programme du séminaire Interfaces – 22 mars 2018 – Visualisation de la donnée Au Cnam, accès 21 (on peut y arriver par l’accès 17) étage 1, salle 05 (21.1.05) salle 24 (21.1.24), 292 Rue Saint-Martin, 75003 Paris. Avec l’appel national à la gréve, nous proposons à ceux qui le souhaitent de nous rejoindre à l’url suivante : https://appear.in/dicen-idf. Nous essaierons également d’enregistrer les interventions et de mettre à disposition les présentations. (Plan d’accès) Introduction (Gérald Kembellec, Camille Claverie 5 minutes) (1) Enjeux et opportunités de la datavisualisation, approches épistémologique et historique, interagir avec les données (Etienne Armand Amato, 45 min avec questions) (2) L’écosystème de la datavisualisation (Béa Arruabarrena, 45 min avec questions) (3) Data Journalisme et/ou systèmes de recommandation, traitement et visualisation, cartographie (Marzia Antenore, 45 min avec questions); (4) Cartographie des compétences en milieux professionnels (Serge Casasus, 45 min avec questions)
    • SÉMINAIRE Urgence, Hyperconnexion et laisse électronique des cadres
    • Publié le 24 janvier 2018 par Webmaster dans
    • Vous souhaitez vous rendre au séminaire ? Consultez notre plan d’accès Le jeudi 08 février prochain, se tiendra, sur le site du Val d’Europe, à l’Institut Francilien d’Ingénierie des Services (IFIS) de l’Université Paris-Est Marne-la-Vallée, le séminaire « Urgence, hyperconnexion et laisse électronique des cadres ». Présenté par Valérie CARAYOL, ce séminaire traitera notamment de notre dépendance aux technologies.
    • Atelier 2 – Séminaire Écritures numériques et éditorialisation
    • Publié le 17 janvier 2018 par Webmaster dans
    • Atelier animé par Servanne Monjour & Mattéo Tréléani (à distance de Montréal) – Lundi 4 décembre : 17h30 – 19h30 – CNAM, accès rue Conté, salle 33.3.20 En préparation du deuxième atelier edito18, Servanne Monjour et Matteo Treleani nous proposent de travailler autour de l’article « L’intelligence des traces » de Louise Merzeau (Intellectica, 2013). Dans cet article, Louise Merzeau encourage à penser la trace numérique au-delà du seul paradigme indiciaire : nos traces ne sont plus seulement un symptôme ou le résultat d’un impensé (utilisé afin de tracer et de mesurer l’usager), mais elles constituent une écriture à part entière. Ainsi envisagée selon un paradigme performatif, la trace apparaît comme un élément d’agencement, comme une sorte de brique pouvant œuvrer à la « construction d’espaces communs de connaissance et de mémoire ». C’est à partir de cette conception de la trace numérique que nous souhaitons orienter les débats autour de la problématique spatiale posée dans le séminaire : entre risque d’expropriation (identitaire, notamment) et possibilités d’aménagement (d’un territoire (?) numérique), comment la trace permet-elle de penser les modalités d’un environnement ou d’un habitat numérique?
    • Quelles plateformes numériques pour la collecte et la valorisation des mémoires, de la culture et du patrimoine?
    • Publié le 17 janvier 2018 par Webmaster dans
    • 21 septembre 2017 Au Conservatoire National des Arts et Métiers 292 rue Saint Martin -75003 Paris Amphithéâtre Jean Fourastié Entrée libre sur inscription par mail à envoyer à  :  Réunir des documents numérisés, audiovisuels ou iconographiques et enregistrer des témoignages pour rendre compte du passé, valoriser un patrimoine bâti ou immatériel, promouvoir les savoir-faire et les valeurs d’une entreprise ou d’une institution est une pratique aujourd’hui courante Il existe une véritable demande sociale de ces mémoires  et un réel débouché économique pour ces recueils de témoignages du passé, mais il n’existe pas d’offre technologique intégrée permettant d’organiser, de classifier, et de publier ces recueils sur le web  sous forme de parcours 3D, de web-documentaires, d’expositions, diffusées ou de les intégrer en réalité augmentée à des visites de lieux, et de développer la participation des visiteurs à l’enrichissement et l’annotation de ces collectes multimedia. II n’y  a pas de solution entre le « bricolage » à l’aide des cms standards (Spip, Joomla ou WordPress, imparfaitement adaptés, et les systèmes développés sur-mesure et non réutilisables. Nous proposons dans cette journée de faire dialoguer les praticiens des collectes de mémoires, les chercheurs en humanités numériques et les sociétés de développement du numérique et du multimedia, pour poser l’état de l’art international dans le domaine de la modélisation du patrimoine mémoriel, les plateformes participatives et les expositions multimedia afin de susciter des partenariats pour le montage de projets de développement d’une plateforme intégrée. intervenants :   9h30 Claire Scopsi (Maitre de conférences au Dicen-IDF Cnam Paris) Introduction 9h40 – Stéphane Pouyllau (Ingénieur de recherche au CNRS, directeur technique d’Huma-Num) : L’édition de bibliothèques numériques en SHS : le service NAKALONA d’Huma-Num (www.nakalona.fr) 10h20  – Bastien Guerry (Service du Patrimoine, ministère de la Cultur – https://bzg.fr/) et Marta Severo (Maitre de conférences au Dicen-IDF Paris Nanterre) : Un Inventaire participatif du patrimoine national des orgues. 11h00-11h30 pause et présentations libres  des applications Muséocube – Passerelle de mémoires- et Passerelle des Mémoires. 11h30 – Gerald Kembellec (Maitre de conférences au Dicen-IDF Cnam Paris) et Lucie Lachenal (doctorante en Histoire de l’Art à Paris 1) : Modélisation et développement d’un dispositif d’accès aux bibliographies de critiques d’art francophones orienté prosopographie par le Web de données. https://www.dicen-idf.org/membre/gerald-kembellec/ 12h10 – 12h10 Sébastien Caquard Associate Professor of Geography and Director of the Geomedia Lab (https://www.concordia.ca/artsci/geography-planning-environment/faculty.html?fpid=sebastien-caquard) and  Rodolphe Gonzales post-doctoral fellow at The Center for Oral History (CHORN) and at the Geomedia lab (Concordia University Montreal). Mapping  “histoires de vie“ 12h50-14h30 Pause déjeuner  14h30  Julien BROUILLARD (Chargé de développement Innovation numérique & urbaine –Dédale) CityTelling / Lire, comprendre et écrire la ville avec ses habitants www.citytelling.fr 15h10 -. Philippe Hanus  (fondation FACIM, coordinateur éditorial du projet Traverse, chercheur associé au LARHRA) et Ulrich Fischer( Memoways, vidéaste et assistant maîtrise d’ouvrage du projet Traverse) : Présentation du projet Traverse : patrimoines franco-suisses en partage https://www.traverse-patrimoines.com. 15h50 -16h10 pause et présentations libres  des applications Muséocube – Passerelle de mémoires- et Passerelle des Mémoires. 16h10 – Alessandro Cattunar : Présentation de projets d’histoire orales et de leur valorisation multimedia : Le […]
    • Atelier 3 – séminaire Ecritures numériques et editorialisation
    • Publié le 12 janvier 2018 par Marta Severo dans
    • Le troisième atelier Edito18, coordonné par Chloé Girard et Jérôme Valluy, sera autour de l’article « Les fake news, miroir grossissant de luttes d’influences » de Louise Merzeau (Ina Global, mai 2017). Pour que la discussion soit des plus intéressantes, je vous rappelle qu’il est essentiel que chacun lise et annote le texte en amont de la séance, en suivant les orientations proposées par Chloé et Jérôme : L’article de Louise part des fake news mais ça n’est pas son sujet ni le nôtre ici : “Quel que soit l’angle sous lequel on les observe, c’est sur l’énigme du médium que ces fausses nouvelles conduisent notre regard. Corps conducteur, milieu, organe : comment les idées se propagent-elles, comment leur circulation transforme-t-elle la réalité, comment le pouvoir s’incarne-t-il dans cette puissance de propagation ?”. “Avant d’être un effondrement de la vérité, la crise des fake news est le signe d’une redistribution des circuits de la confiance”. Nous nous en tiendrons ici à “comment les idées se propagent-elles”, à “la source et le lit” par lesquels naissent et se propagent les (dés)information dans le numérique. Comment schématiser l’une et l’autre dans ce milieu ? Environnement-source : autorités centralisées : les plus nombreuses (sites classiques, d’information et autres, blogs et comptes Twitter) délibératives : archétype de Wikipedia, pas forcément très reproduit.* auteurs : nommés anonymes : part très très amplifiée dans le numérique, culture du pseudo. Environnement-lit : schéma affinitaire (bouche à oreille, rumeur) : part très, très amplifiée dans le numérique, culture du rebond, schéma radial : encore très important, information allant des sources centralisées vers les lecteurs. Relativement au schéma des média classiques et mass media les nouveautés du milieu numérique semblent concerner surtout : l’amplification de l’anonymat de la source, l’amplification de rebond de lecteur à réseau affinitaire. Comment construire la confiance dans ce milieu ? Il semble que Louise se contredise dans cet article : elle écrit d’abord “Plus encore que la source, c’est le lit par où s’écoule l’information qui conditionne sa crédibilité” pour en arriver à la notion de co-construction délibérative de la “vérité” qui montre au contraire que c’est le mode de construction de la source qui est important. Peut-on donc imaginer des “journaux d’information” (au sens le plus large) délibératifs ? Est-ce qu’une rédaction, nommée, n’est pas déjà une source délibérative à petite échelle ? Est-ce que ça n’est pas la culture de la source qu’il faut développer ? Les blogs persos comme les comptes de réseaux sociaux ont donné la parole à chacun, ce qui est très certainement à saluer, mais ce sont des paroles parfois anonymes et la plupart de temps hors réseau, au sens où elles s’expriment sans aucune délibération avant parution (co-auteurs, responsables éditoriaux, correcteurs, relecteurs…) ? Cela nous amène à nuancer la notion de réseau, qui possède au moins deux facettes : réseau de co-auteurs, relecteurs, éditeurs (qui sont aussi des relecteurs), correcteur, etc. réseau de lecteurs. Un grand nombre de discours, dans le numérique, n’ont peu ou pas de la première. D’où l’importance de soutenir […]
    • Inscription au congrès DTU et programme
    • Publié le 4 janvier 2018 par Gérald Kembellec dans
    • Visuel de la conférence
      Inscription à DTU Programme Programme de la conférence A propos Les inscriptions sont ourvertes ici (gratuit). Le premier congrès international Digital Tools & Uses est une conférence multidisciplinaire internationale consacrée à l’étude des usages et du développement des outils numériques. Sur Twitter : #dtucparis Il vise à réunir 4 symposiums interdépendants: 1) les études sur le Web (digital studies), 2) les défis de l’IoT (IoT challenges), 3) les systèmes de recommandation (Interdisciplinary Workshop on Recommender Systems aka InWoRS’2018), 4) les archives, bibliothèques et les réseaux sociaux (International conference on Libraries and Archives in the Digital Humanities Era aka CIBAHN’2018), et L’intention de ce congrès est d’aborder un objet d’étude commun à partir de différentes perspectives afin d’enrichir la discussion et la collaboration entre les participants. Chacun des congrès susmentionnés a déjà eu lieu séparément les années passées. L’objectif est maintenant de consolider les relations qui rassemblent la théorie et la pratique, les techniques et les humanités, les agents humains et artificiels, les sciences et les arts. Les chercheurs et les praticiens se réuniront et apprendront les uns des autres dans un environnement accueillant, gommant les frontières entre les disciplines et les écoles. Pour cette raison, chacun des cinq symposiums indépendants est présenté ci-dessous comme une axe du Congrès Digital Tools & Uses et aura lieu simultanément pendant les trois jours du congrès. Nous sommes reconnaissants envers les partenaires exceptionnels et les collègues internationaux qui ont accepté de nous accompagner dans cette entreprise. Nous nous attendons à ce que cette première édition du Digital Tools & Uses Congress offre une grande variété d’idées et de développements scientifiques à l’intersection des STM et des Sciences humaines. Publication Programme de la conférence Une sélection des meilleurs articles seront invités à publier des versions étendues sous la forme de chapitres de livres sous la série Digital Tools & Uses à ISTE & Wiley (index par http://onlinelibrary.wiley.com/). Il est à noter que le laboratoire Dicen-IdF est étroitement associé à l’organisation et à la tenue globale du congrès et plus particulièrement aux thématiques Libraries and Archives in the Digital Humanities Era et Interdisciplinary Workshop on Recommender Systems