Archives de l’auteur : Marta Severo

Mises en ligne patrimoniales

Thématiques : Tracesmbre principal

Vendredi 28 novembre 2025 – de 8h45 à 17h45
Université Paris Nanterre, Bâtiment Max Weber, Salle de séminaire 2

Programme du séminaire du projet de recherche « MILPAT : Mises en ligne patrimoniales » (ANR 2025–2028)

8h45 – Accueil des participant·es

9h00 – 9h15 : Présentation du projet MIL-PAT
Nicolas Adell, Professeur des universités en anthropologie, UMR LISST, Université Toulouse – Jean Jaurès,
Sylviane Bonvin-Pochstein, Chargée des collections d’anthropologie culturelle, Muséum de Toulouse, Toulouse Métropole,
Marta Severo, Professeure en Sciences de l’Information et de la Communication, DICEN-IDF, Université Paris Nanterre.

9h15 – 9h45 : « Les enquêtes participatives au musée »
Joëlle Le Marec, Professeure en muséologie, sciences de l’information et de la communication, UMR PALOC, Muséum national d’Histoire naturelle

9h45 – 10h15 : « Le service des musées de France : la recherche de provenance, nouvelles perspectives »
Catherine Chevillot, Conservatrice générale, Préfiguration de la mission Provenance, DGPA – Service des musées de France, Ministère de la Culture

10h15 – 10h45 : Discussion

10h45 – 11h00Pause

11h00 – 11h30 : « Du partage de données à la mise en ligne de nouveaux savoirs : contre-enquêtes sur les héritages de la mission Dakar-Djibouti [1931–1933] »
Gaëlle Beaujean, Responsable de collections, Unité patrimoniale Afrique, Musée du quai Branly – Jacques Chirac

11h30 – 12h00 : « En ligne et en biais ? Comment diffuser numériquement les collections d’un musée de société au regard de la provenance, de l’éthique et du droit ? »
Charles Riondet (présentiel), Chargé de projets numériques et open data, MUCEM
Sarah Dietz (distanciel), Chargée de la gestion informatisée des collections, MUCEM
Julie Durin (distanciel), Chargée de la gestion informatisée des collections et des inventaires, Département des collections et des ressources documentaires, MUCEM

12h00 – 12h30 : Discussion

12h30 – Buffet

Atelier du projet de recherche
« MILPAT : Mises en ligne patrimoniales » (ANR 2025–2028)

Vendredi 28 novembre 2025 – de 14h00 à 17h30
Université Paris Nanterre, Bâtiment Max Weber, Salle de séminaire 2
(RER A ou Transilien L – arrêt Nanterre Université)

14h00 : Point d’actualités sur le projet (Nicolas Adell)

14h15 – 15h00 : Les retours de missions – Archives et indexation (modération : Sylviane Bonvin-Pochstein)

14h15 : « Les recherches en archives et l’indexation des fonds – point d’étape » par Lisa Cocrelle, Anouk Delaître et Julia Vila

14h45 : Discussion

15h00 – 16h45 : Les retours des enquêtes – Collections et terrains (modération : Marta Severo)

15h00 : « La préparation des terrains » par Sylviane Bonvin-Pochstein

15h15 : « Terrain d’enquête à Madagascar » par Olivia Legrip

15h30 : « Terrain d’enquête en Kanaky-Nouvelle-Calédonie » par Hélène Guiot et Ann Gourmelen

15h45 : Discussion

16h15 – 16h30 : Pause

16h30 – 17h15 : Le traitement et l’éditorialisation des données (modération : Nicolas Adell)

16h30 : « L’encodage des données via l’outil collaboratif Taguette » par Magali Dufau

16h45 : « Editorialiser et rendre accessible les collections patrimoniales » par Marta Severo et Antonin Segault

17h00 : Discussion

17h15 – 17h45 : Discussion générale, prochaines étapes et jalons du programme 

Point sur la méthodologie de travail

Événements, journées, ateliers, séminaires en préparation ou en projection

Réflexions autour des livrables

AG Dicen 2025 – Bilan et Perspectives

Thématique : Coopération

25 Juin – amphithéâtre Jean-Baptiste Say, accès 1 – CNAM (292 rue Saint Martin)

L’assemblée générale du laboratoire Dicen est un temps fort de la vie collective de notre unité. Elle permet de faire le bilan des activités de l’année écoulée, de discuter les perspectives à venir autour des thèmes de recherche, et de renforcer les dynamiques transversales qui font la richesse du laboratoire. C’est aussi un moment privilégié pour découvrir les recherches portées par les nouveaux membres de Dicen.

9h Accueil café

9h30 Ouverture et bilan de l’activité du laboratoire, Direction de Dicen

9h50 Courte présentation de nouveaux membres

 

10h Atelier de travail des thèmes – Bilan et perspectives

11h20 Pause

11h40 Restitution des thèmes (10 minutes par thème)

 

13h Pause déjeuner 

 

14h Les nouvelles recherches de Dicen

Céline Morin, Université Paris Nanterre

La guérilla sémiotique des nouveaux anti-IVG : récupération des codes et inversions des signes

Stephan-Eloïse Gras, CNAM

Quel régime de connaissance pour les modèles de langage ? Une approche communicationnelle des artefacts d’intelligence artificielle

 

15h15 Pause

 

15h30 Thomas Grignon, CNAM

Enjeux pour les SIC d’une analyse de la genèse des « prétentions communicationnelles

 

Zhao Huang, Université Gustave Eiffel

Ventriloquie et numérisation de la diplomatie animalière Rôles du panda, du koala et du kangourou dans la diplomatie numérique entre la Chine et l’Australie

 

17h Cloture de l’AG

 

Doctoriales du Dicen 2025

27 mai 2025, CNAM Saint-Martin, salle 17-2-15

8h50 : accueil des participant·es

9h20 : Présentations orales

9h20-9h45 MATVYEYEVA, Yuliya Lucile Desmoulins The Digitalization of Public Diplomacy and Information Warfare: A Comparative Analysis of Social Media Strategies in X English-Language Accounts of the Ministries of Foreign Affairs of Russia and Ukraine (2022–2024)
9h50-10h15 TAKAHASHI, Yuka Naïma Aïdi L’innovation et le voyage
10h20-10h45 CAMP, Johanna Maryse Carmes (en visio) Confrontations culturelles, espaces communicationnels stratégiques et spontanés
10h50-11h15 LEBCIR, Yasmine Claire Scopsi Projections professionnelles enseignantes et reconfigurations numériques post-covid. Enquête biographique et auto-ethnographique en contexte scolaire
11h20-11h45 TEYSSOU, Denis Gérald Kembellec La faillibilité des plateformes : l’amplification (de la force) du faux
11h50-12h15 NAKASATO, Aymée Sylvie Parrini-Alemanno La dynamique d’une CoP en contexte inter-organisationnel : une étude de cas en immersion à la sécurité civile
12h20-12h45 SOSA, Jorge Antonin Segault Aux frontières de l’imagination technique de l’Industrie 4.0 : le cas d’Audi Mexique

12h45 : fin de la session du matin

12h45–14h00 : pause déjeuner

14h00–14h50 : Session posters

COISPEL, Thomas Les images des futurs préférables comme controverses citoyennes sur les modes de vie Recherche-action de design prospectif et participatif à l’aide de la co-création d’images
DECHAMBENOIT, Guillaume Vers un système d’information Géologique Intégratif et Collaboratif : Développements et Applications Multidimensionnelles
DE IOANNI, Maria-Ida Les écritures numériques de mode. Nouvelles formes de publication du savoir-faire créatif dans le bassin méditérannéen
DIAS, Hully L’intégration de l’ESS dans les politiques publiques : une analyse de la dynamique des données et de la légitimation.
EPOH EDJAGUE, Richard Patrick Transformation digitale et développement numérique du musée national du Cameroun : apports potentiels du « jumeau numérique » au débat sur la restitution du patrimoine africain.
FLUZIN, Dylan Désir de mémoire – Vers un design d’Archive queer(ED) / Expérimentation et design critique dans les pratiques contemporaine d’auto-documentation numérique LGBTQIA+
HAMMADI, Hafida Pratiques et usages numériques au collège : Vers une transition numérique
LACOUR, Arthur La construction de l’image des prisons françaises : enjeux participatifs à l’ère du numérique
MARTIN, Eliot L’Éducation Artistique et Culturelle (EAC) dans le premier degré : de son impact sur le développement socio-émotionnel à ses réceptions enfantines.
TROVO-HARLAY, Marion La France face au défi de l’utilisation du Lawfare comme outil d’Intelligence Economique offensive
RAVET, Eloïse Le patient et son retour à domicile : une approche par le design des objets du quotidien

15h00–17h25 : Présentations orales

15h30-15h55 LAMACHE, Lucille Victoria Laurent Récits et images de la désobéissance civile écologiste dans les musées : enjeux de la construction d’une radicalité militante
16h-16h25 AMAPANI, Giuseppe Gérald Kembellec Catalogage numérique, entre public et privé
16h30-16h55 MERTZ, Chloé Jeanne Ferrari-Giovanangeli Contre le nucléaire et son monde : enjeux méthodologiques et éthiques en contexte militant.
17h-17h25 LEFEBVRE-REGHAY, Sandrine Thomas Grignon Le nouveau paradigme de la rédaction professionnelle à l’ère du numérique.

Critical Perspectives on Heritage: Digital Practices and Historical Memory

Thématique : Traces

26 mai 2025, 15h30-17h30
Université Paris Nanterre, Bâtiment Max Weber, Salle 1, rez-de-chaussée

15h30 Introduction, Marta Severo, Dicen-IdF, Université Paris Nanterre

15h45 Céline Yunya Song, The Hong Kong University of Science and Technology
Beyond Preservation: Computational Approaches to Cultural Heritage
This talk explores how computational methods can transform the ways we engage with cultural heritage in the digital era. Moving beyond preservation, it highlights how tools such as video analytics, machine learning, and immersive storytelling can surface hidden narratives, mediate between grassroots and institutional representations, and foster inclusive cultural participation. Drawing on comparative case studies—including Douyin short videos and cross-cultural VR experiences—the presentation demonstrates how heritage can be understood as a dynamic, negotiable process shaped by both social structures and technological design.

16h30 Sabina Rosenbergová, University of Groningen
Transformation of Female Religious Spaces and Objects into Modern Museum Contexts
In the wake of European secularization, numerous female religious institutions were dissolved, their spaces repurposed as museums and their sacred objects reclassified as cultural heritage. This process not only displaced the material culture of women’s religious life but also contributed to the erasure of their histories from public memory. Based on my MSCA Postdoctoral Fellowship, this talk elaborates on how such transformations shaped the construction of heritage and the selective remembrance of women in modern museum contexts. Focusing on the Essen Cathedral Treasury, it explores how historical frameworks of classification and display obscure the original meanings of objects once embedded in women’s devotional and communal lives. Re-examining these collections becomes a first step toward reshaping inherited narratives, offering new possibilities for more inclusive and equitable forms of cultural remembrance.

17h15 Cloture

Céline Yunya Song
Prof. Céline Yunya Song is an award-winning scholar whose research spans global communication, digital media, cyber-psychology, and social media analytics. Educated across China, France, and the U.S., she brings a truly interdisciplinary and intercultural perspective to the study of communication in the digital age. A two-time Fulbright awardee, she has secured major research grants internationally and has collaborated across four continents. Prof. Song is currently the Award Chair of the International Chinese Communication Association. She is also the Editor of Communication & Society (TSSCI) and serves as Associate Editor for Computers in Human Behavior (SSCI) and Mass Communication and Society (SSCI). She has held leadership roles at several institutions, including Associate Dean of the School of Communication and Director of the AI and Media Research Lab at Hong Kong Baptist University. She was also a Visiting Associate Professor at Cornell University.

Sabina Rosenbergová
Sabina is an Assistant Professor of Cultural Heritage at the University of Groningen, serving the multi-disciplinary faculty of Campus Fryslan. She is a laureate of the prestigious MSCA Postdoctoral Fellowship. Her project “Transformation of Female Religious Spaces and Objects into Modern Museum Contexts” combines art history, museum, and heritage studies with a gender lens to investigate how historical spaces and artifacts are transformed when integrated into modern cultural institutions. The Center for Religion and Heritage, within the Faculty of Religion, Culture, and Society hosts her research at the University of Groningen. She earned her Ph.D. in Art History from Sapienza University of Rome and Masaryk University in Brno in 2023, with a thesis offering a reappraisal of 10th-century art and culture in Rome. Sabina has a strong international research background, having contributed to projects across Italy, Czechia, France, and the USA. She was a researcher on the MSCA Horizon Project “Conques in the Global World,” a Pre-doc Fellow at the Max Planck Institute for Art History – Bibliotheca Hertziana in Rome, and a visiting scholar at CUNY in New York.

ANR MIL-PAT – Mises en ligne patrimoniales

Projet de recherche Dicen-IdF issu de l’appel à projets de recherche générique ANR 2024

Durée : 2025-2028

Partenaires : Dicen-Idf (Université Paris Nanterre), LISST (CNRS), Muséum d’Histoire Naturelle de Toulouse

Budget global : € 600K

Porteur du projet : Nicolas Adell

Contacts : Marta Severo

Membres de Dicen-Idf participant au projet : V. Laurent, J. Ferrari-Giovanangeli, C. Scopsi, L. Barbe, M. Severo, A. Segault.

Résumé
Dans le champ du patrimoine culturel, MIL-PAT cherche à révéler les enjeux, comportements et décisions politiques, juridiques et éthiques qui sont contenues dans des actions aussi matérielles et techniques que des processus de numérisation, d’indexation, d’éditorialisation et de mise en circulation virtuelle d’objets de collections ethnographiques.
Fort des connaissances acquises sur les aspects directement (géo)politiques et éthiques de ces questions, MIL-PAT propose d’interroger, à partir du cas du Muséum de Toulouse et selon un principe de co-construction du savoir, les ressorts techniques et matériels de ces problèmes en amont des procédures de restitution qui n’en révèlent qu’un aspect. Car les phénomènes de restitution recouvrent des questions plus générales d’accessibilité, de partage, de lisibilité et de maintenance. Ce sont de telles questions que le projet entend prendre en charge.
Il s’appuiera sur le traitement de trois collections ethnographiques du Muséum de Toulouse – Madagascar, Nouvelle-Calédonie, Brésil – pour en reconstruire l’écosystème en rassemblant archives et documents, mais aussi en enquêtant avec les collectifs d’ayants-droits sur le terrain. Recherche fondamentale fondée sur une hypothèse forte (l’éthico-politique s’immisce aussi au niveau technico-matériel, non comme un guide mais comme un rouage), MIL-PAT ambitionne également d’agir en aidant à la réappropriation culturelle par l’accessibilité la plus juste. La démarche vise à être exportable et reproductible pour lancer mieux et davantage les ponts entre sociétés d’origine et établissements de conservation actuels, au bénéfice de tous les publics.
Pour ce faire, le projet réunit des chercheur.e.s en anthropologie, en sciences de l’information, en histoire et en droit, ainsi que des professionnel.le.s de la conservation des patrimoines sensibles, chargé.e.s de collections ethnographiques et responsables de bases de données.

Reconfigurations du numérique pour la transition écologique : métiers et compétences

Thématique : Traces

Projet de recherche Dicen-IdF issu de l’appel à projets de recherche APR TEES : Transitions Ecologiques, Economiques et Sociales – Edition 4 de l’ADEME

Durée : 2025-2028

Partenaires : Dicen-Idf (Université Paris Nanterre), FR CIST, SicLab (Université Cote d’Azur), IRIT/CNRS (Université Toulouse 3)

Budget : € 200K

Contacts : Marta Severo

Membres de Dicen-Idf participant au projet : V. Laurent, J. Ferrari-Giovanangeli, E. Mouratidou, M. Severo, A. Segault, D. Compagno, T. Grignon, S.-E. Gras.

Résumé
Le concept de « numérique responsable » est devenu un pilier du domaine entrepreneurial et façonne un ensemble de politiques publiques. Il englobe l’utilisation du numérique pour accélérer la transition écologique ainsi que la réduction des impacts environnementaux et sociaux associés au numérique. Le projet RENUM s’inscrit dans cette dynamique en menant une enquête sur les usages, la circulation et la performativité des expressions telles que « numérique responsable », « sobriété numérique », « GreenIT » et « IT for Green ». Son but est de comprendre la manière dont les mondes professionnels du numérique, comprenant les départements informatiques des entreprises, des collectivités et des institutions, les professionnels de la RSE, les programmes de formation de l’enseignement supérieur et de la formation continue et les organisations professionnelles, se réorganisent pour relever les défis de la transition écologique dans le cadre de la définition des politiques numériques.

Plus précisément, ce projet vise à atteindre trois objectifs : (i) Cartographier le paysage professionnel du numérique responsable et de la sobriété numérique en identifiant les métiers émergents et l’évolution des professions existantes. (ii) Dresser une cartographie des formations liées à ce secteur et des compétences autour desquelles il se structure, en ne se limitant pas aux cursus en informatique, mais en adoptant un point de vue pluridisciplinaire et interdisciplinaire. (iii) Favoriser une réflexion collaborative et critique sur les métiers et les compétences et la production de recommandations co-construites entre les différents acteurs du secteur professionnel avec une perspective qui définit des scénarios à l’horizon de 2030 et de 2050, afin de mieux accompagner la transition numérique tout en respectant les principes de la transition écologique.

Le projet RENUM s’appuie sur les résultats d’une recherche exploratoire déjà conduite sur le territoire de Paris Ouest la Défense et sur un réseau académique et professionnel qui permettra d’élargir l’analyse à niveau national. Par ailleurs, son consortium, associant des chercheurs en sciences de l’information et de la communication, en sociologie, en aménagement, en géographie et en informatique, travaillera à la production d’un cadre de recherche interdisciplinaire en SHS propice à la construction d’une posture critique autour du numérique responsable et de la sobriété numérique.

Le mouvement Wikimédia : des projets, des communautés et des communs

Thématique : Traces

Journée d’étude co-organisée par le laboratoire Dicen-Idf,
avec le soutien de l’association Wikimédia France

Vendredi 14 mars 2025, CNAM, Paris
Amphithéâtre Gaston Planté

9h30  – 10h : Ouverture de la journée. Antonin Segault et Marta Severo (Laboratoire Dicen-Idf, Université Paris Nanterre)

10h – 11h : Conférence introductive : Technodiversalité : les défis du projet Abstract Wikipédia. Nathalie Casemajor (Centre Urbanisation Culture Société, Institut national de la recherche scientifique)

11h – 11h30 : Pause café

11h30 – 12h : Explorer la diversité des savoirs et la littératie communautaire dans les événements « Mardi, c’est Wiki » de Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ) entre 2015 et 2019. Marie Martel (Université de Montréal) et Jean-Michel Lapointe (Université du Québec à Montréal)

12h – 12h30 : Entre wikification de la science et scientifisation des wikis : étude des résidences wikimédiennes dans les institutions de l’enseignement supérieur et de la recherche en France (2021-2024). Victor Planche, Jeanne Vermeirsche et Ouassim Hamzaoui (Laboratoire des Sciences Juridiques, Politique, Economiques et de Gestion, Université d’Avignon)

12h30 – 13h : Le MOOC Wikidata. Amélie Charles (Laboratoire Dicen-Idf, Université Paris Nanterre et Wikimédia France)
13h  – 14h30 : Pause déjeuner

14h30 – 15h : Dynamiques contributives et synthèse artificielle : quels modèles socio-économiques. Vincent Puig (IRI, Centre Pompidou)

15h – 15h30 : Wikidata et l’éducation populaire. Evelyne Broudoux (Laboratoire Dicen-Idf, CNAM)

15h30 – 15h45 : Pause café

15h45 – 16h15 : Le projet « femmes géographes » sur Wikipédia : analyse d’une participation à un commun du savoir. Odile Chatirichvili (LERASS, Université de Toulouse Jean Jaurès), Mathilde Joncheray (LISST, Université de Toulouse Jean Jaurès), Muriel Lefebvre, Mélanie Le Forestier, Gilles Sahut (LERASS), Marie Juillot (LISST).

16h15- 16h45 : Le multilinguisme dans Wikidata et Wikimédia Commons : analyse comparée des politiques de gouvernance. Sabrina Mac Gregor, Saulnier Claudie et Nathalie Casemajor (Institut National de la Recherche Scientifique), et Stéphane Couture (Université de Montréal)

16h45-17h : Conclusion de la journée. Antonin Segault et Marta Severo (Laboratoire Dicen-Idf, Université Paris Nanterre)

17h – 19h : Remise des Prix de la recherche de l’association Wikimédia France

 Plus d’informations sur le prix sont disponibles sur : https://www.wikimedia.fr/participer-au-prix-wikimedia-de-la-recherche/

Lieu :
Amphithéâtre Gaston Planté
Conservatoire National des Arts et Métiers (CNAM)
2 rue Conté (attention, pas rue Saint-Martin)
75003 Paris
Salle accessible PMR
Métro : Arts et métiers (lignes 3 et 11)

Inscriptions :
Inscription gratuite mais obligatoire avant le 9 mars 2025
Formulaire d’inscription : https://wikimouv2025.sciencesconf.org/registration (compte sciencesconf nécessaire).
Si vous avez des problèmes avec le formulaire, vous pouvez vous inscrire en envoyant un mail à marta.severo@parisnanterre.fr 

Contact :
Antonin Segault antonin.segault@parisnanterre.fr
Marta Severo marta.severo@parisnanterre.fr

Traces de l’épuisement : entre disparition et revitalisation

Thématiques : Tracesmbre principal

7 février 2025, 13h45-17h30
Salle de conférences, Bâtiment Formation Continue, Université Paris Nanterre

Cette séance du séminaire du thème Traces du laboratoire Dicen-IdF explore les dynamiques  socio-territoriales d’épuisement et de revitalisation, qu’elles soient individuelles, collectives, physiques ou numériques. Dans un contexte marqué par des hypersollicitations croissantes, les territoires, les organisations et les individus voient leurs ressources s’épuiser, qu’il s’agisse d’exploitation touristique, de grands événements (comme les Jeux olympiques ou la Fashion Week) ou de pressions professionnelles et personnelles.

L’épuisement peut entraîner la disparition des traces d’un territoire ou d’un objet, mais il peut aussi ouvrir la voie à des processus de revitalisation, de réinvention ou de détournement. Cette séance s’intéresse à ces phénomènes complexes et à la manière dont les dispositifs d’information et de communication, à travers leurs traces (messages sur les réseaux sociaux, articles de presse, déambulations numériques et physiques, etc.), permettent de les documenter, de les analyser et parfois même de les réactiver.

Programme 

13h45 Ouverture

14h00 Les futurs épuisés : entre traces de la fin et redémarrages forcés
Fabrizio Defilippi, Dicen-IdF, Université Paris Nanterre

14h30 “Une lecture de L’Épuisé de Gilles Deleuze, entre théorie de la littérature et écriture numérique
Irene De Togni,  Dicen-IdF, Université Paris Nanterre

15h00 Flux vidéo de sommeil: sismographes des états de fatigue et de veille numériques
Eloïse Vo, EPFL/ALICE, Hes-So HEAD

15h30 Pause

15h45 Cartographie des acteurs de la médiation patrimoniale audioguidée
Victoria Laurent, Dicen-IdF, Université Paris Nanterre et David Francisco, LabSic, Université Paris Nord

16h15 La patrimonialisation de Notre-Dame-des-Landes : vers la revivification des territoires de la lutte
Julien Gaillard, Dicen-IdF, Université Paris Nanterre 

16h45 Conclusion de la journée

17h00 Fin de la séance

Responsabiliser le numérique : enjeux discursifs et socio professionnels

Thématiques : Tracesmbre principalsponsable de la thématique

Journée d’études

Catalyseur de l’innovation (Tour Coeur La Défense, Paris Ouest la Défense)

1er octobre 2024

Inscription : https://forms.gle/MWQTjPuV82GC6BU87 

Journée d’études organisée par Dicen – Université Paris Nanterre en collaboration avec Paris Ouest la Défense dans le cadre du projet VUES.

Programme

9h-9h15 Accueil
9h15-9h45 Introduction
Marie Claude Jarlegand, Directrice développement économique, POLD
Romain Vindevoghel, chargé de recherche, Université Paris Nanterre

 

Panel n°1 : Approches critiques du numérique responsable

9h45-10h15 L’impératif de la sobriété numérique

Fabrice Flipo, LCSP, Université Paris Cité

10h15-10h45 Le devenir commun des déchets numériques ou les curieux hyperobjets des diggers de l’anthropocène

Laurence Allard, Fasest, Université de Lille-Fasest & Ircav, Université Paris-Sorbonne Nouvelle

10h45-11h15 Le « greenwashing » a-t-il été greenwashé ? Typologie du concept dans les discours de presse sur le numérique responsable
Jeanne Ferrari-Giovanangeli et Céline Morin, Dicen-IDF, Université Paris Nanterre

 

11h15-11h45 Pause

 

Panel n°2 : Imaginaires et discours du numérique responsable dans les organisations

11h45-12h15 Numérique et environnement : quelle responsabilisation pour les think tanks français ?

Fabrizio Defilippi, Dicen-IDF, Université Paris Nanterre

12h15-12h45 À la recherche d’une stratégie communicationnelle pour un numérique responsable à l’université : quels imaginaires ?

Carsten Wilhem et Muriel Béasse, CRESAT, Université de Haute-Alsace

 

12h45-14h Pause déjeuner

 

Panel n°3 : Mettre en place le numérique responsable

14h-14h30 Entre pratiques professionnelles et culture de l’accessibilité numérique

María Inés Laitano et Nicolas Sauret, Laboratoire Paragraphe, Université Paris 8

14h30-15h « Green SEO » et éthique du web : promouvoir une communication numérique responsable et respectueuse de l’environnement

Kouamvi Couao-Zotti, LabFluens, UQAM

15h-15h30 Alt-Impact : un programme ambitieux pour la sobriété numérique

Jean-Marc Pierson, IRIT, CNRS, Université Toulouse 3 Paul Sabatier

 

15h30-16h Pause

 

16h-17h30 Table ronde : pratiques professionnelles du numérique responsable
Modération : Elie Petit, journaliste
Isabelle Bonhomme, Directrice du développement RH et du recrutement, Saint-Gobain
Valérie Reynaud, Manager conseil Numérique Responsable, Digital4Better
Saadia Ayadi, Directrice des systèmes d’information et des télécommunications, POLD
Barbara Bonnefy, Vice-présidente Développement durable et RSE, Université Paris Nanterre

 

17h30-18h Clôture

Contact : Romain Vindevoghel

AAC Responsabiliser le numérique : enjeux discursifs et socio professionnels

Thématique : Traces

Journée d’études

Catalyseur de l’innovation (Paris Ouest la Défense)
1er octobre 2024

Appel à communication
(Télécharger l’appel en format pdf)

Si les dimensions sociales et environnementales du numérique sont prises en compte depuis les années 1990 dans les recherches en informatique (Hilty, Lohmann, Huang 2011), ces questions s’installent progressivement dans le débat public, en France et en Europe au cours des années 2010. Dans la recherche, des travaux en sciences humaines et sociales s’emparent peu à peu de ces problématiques, notamment en abordant la dimension matérielle des infrastructures numériques et l’enjeu de la sobriété numérique (Flipo, Dobré, Michot 2013 ; Lopez 2022). Sur le plan professionnel, les termes de Green IT, IT for Green ou Tech for Good émergent dès le début des années 2000. Des groupes de travail se constituent et cherchent à obtenir une légitimité dans le domaine, en particulier grâce à la constitution de labels. Par exemple, l’association greenit.fr, créée en 2004, se veut être « un lieu de réflexion sur les enjeux de la rencontre entre numérique et développement durable[1] » tandis que l’Institut du Numérique Responsable, né en 2018, propose une charte et un label « NR ». Dans l’enseignement supérieur et la recherche, le GDS EcoInfo dédié à l’étude des impacts environnementaux du numérique est créé en 2012[2]. En 2018, le labo 1 point 5 voit le jour. Il a pour objectif de comprendre les impacts environnementaux des activités scientifiques et de les réduire. Parallèlement, des formations en informatique et en ingénierie intègrent progressivement ces enjeux environnementaux[3], comme le montre le diagnostic de formation VERT Num[4] réalisé en mai 2023. Cette intégration progressive se traduit par des modules, voire des formations entières destinées à l’étude des impacts socio-environnementaux du numérique, comme, au sein de l’École royale polytechnique de Suède.

En France à la fin des années 2010, les questions numérique et socio-environnementale se cristallisent avec les formules « numérique responsable » ou « numérique écoresponsable » (Krieg‑Planque 2009). Au niveau législatif, l’émergence de ce problème public (Neveu 2022) fait l’objet de plusieurs rapports et feuilles de routes réalisés dans le cadre d’une mission interministérielle « numérique écoresponsable ». En 2021, ce travail d’analyse donne lieu au vote de la loi visant à réduire l’empreinte environnementale du numérique – dite loi REEN –, qui s’adresse aux consommateurs, aux collectivités locales et aux entreprises. Enfin, en 2024, le métier de « chargé de numérique responsable » est considéré comme un métier émergent par Numeum, un syndicat professionnel de l’industrie du numérique en France.

Le discours du « numérique responsable » est principalement cadré autour de l’impact du numérique sur l’environnement et des moyens requis pour le restreindre. Il se structure autour de deux dynamiques complémentaires. D’une part, il insiste sur le besoin de réduire les conséquences environnementales du numérique en optimisant les dispositifs numériques, par exemple en mettant en œuvre une « conception écoresponsable » des services numériques[5]. D’autre part, il envisage la possibilité de faire du numérique un outil pour le développement durable, par exemple en optimisant certains processus dans le transport ou le stockage (Rasoldier 2024).

Cette journée d’études cherche à comprendre dans quelle mesure le numérique responsable apparaît comme le cadre dominant de réponse au problème public des impacts sociaux et environnementaux du numérique. Elle vise à explorer la façon dont des acteurs investissent ce cadre, le font évoluer ou s’y opposent.

L’approche du « numérique responsable » consistant à le penser uniquement à partir de la question de l’impact sur l’environnement est en effet remise en cause par plusieurs acteurs, qui en pointent les limites. Certains signalent la complexité voire l’impossibilité de la mesure de l’impact du numérique sur l’environnement (Rasoldier 2024). D’autres soulignent que la transition environnementale est aussi une transition sociale : le numérique responsable comprend une dimension sociale parfois peu prise en considération par les acteurs. Plus largement, un discours techno-critique met l’accent sur la dimension occidentalo-centrée du discours lié au numérique responsable. L’absence de remise en cause du système économique et politique dans lequel s’inscrit le développement actuel du numérique s’articule à l’absence des questions sociales liées, par exemple, à l’exploitation des travailleurs de pays en développement pour l’IA (Chabanne et al. 2023).

Ces différentes critiques remettent en cause le cadre conceptuel posé par le discours du « numérique responsable » et conduisent certains acteurs à proposer des alternatives pour étudier les liens entre le numérique et les questions sociales et environnementales. Des propositions autour de la « sobriété » ou de la « frugalité » (Hardy, Saint-Martin, Diminescu 2023 ; Flipo 2020) appliquées au numérique voient le jour, tout comme des ambitions de le rendre plus « inclusif », « éthique », « soutenable » ou en faveur de l’« intérêt général »[6]. D’autres propositions plus radicales suggèrent de s’engager dans une forme de décroissance et de renoncer  à l’usage d’outils vus comme néfastes pour la société et l’environnement (Monnin 2023). Cette évolution du cadre conceptuel va de pair avec une réflexion sur les pratiques de travail et les projets dans lesquels les acteurs s’engagent collectivement et individuellement (Ragueneau, Sabbagh 2024 ; Hardy, Saint-Martin, Diminescu 2023).

Les communications présentées lors de cette journée pourront s’insérer dans un ou plusieurs des axes suivants :

Axe 1 – Imaginer, concevoir et construire le numérique responsable
Le numérique responsable est une notion autour de laquelle s’articulent des pratiques professionnelles et pédagogiques, des formations et des emplois auxquels sont associés des discours portant sur la nécessité de prendre en compte cette notion au sein des organisations. Ce premier axe invite à réfléchir à la façon dont le discours sur le numérique responsable s’incarne dans différentes sphères sociales et aux éléments autour desquels il se structure. Les propositions de communication pourront également porter sur les certifications et labellisations autour du numérique responsable, pour en analyser le contenu ou la circulation au sein des organisations, ainsi que sur les différents manifestes et propositions théoriques sur le numérique responsable, afin de déterminer les façons dont la définition de cette notion se construit.

Axe 2 – Le numérique responsable confronté à d’autres numériques
La question des conséquences sociales et environnementales du numérique n’est pas traitée uniquement à travers le cadre théorique du numérique responsable, qui peut être associé à une forme de dépolitisation de ces enjeux et de greenwashing. Ce deuxième axe est donc consacré à l’étude de propositions alternatives au numérique responsable, qu’elles aient vocation à le compléter ou à offrir un cadre de réflexion radicalement différent. Il pourra accueillir des propositions portant sur des notions – comme celles de « sobriété »[7], de décroissance numérique ou de « démantèlement » (Bonnet, Landivar, Monnin 2021)  du numérique (Couillet, Poissonnier 2023) par exemple. Les propositions portant sur des pratiques pédagogiques et professionnelles alternatives, ou encore sur des communautés structurées autour de la remise en question du recours massif au numérique, sont également bienvenues.

Axe 3 – Évolutions des pratiques professionnelles du numérique responsable
En complément des réflexions portant sur la construction d’un cadre théorique propre au « numérique responsable », ce troisième axe propose d’explorer l’évolution des pratiques professionnelles de celles et ceux qui œuvrent pour réduire les impacts socio-environnementaux du numérique ou qui se servent du numérique pour des missions sociales et environnementales. Les propositions pourront témoigner des pratiques se situant dans le cadre du numérique responsable, déployées par des chargés de numérique responsable ou des responsables RSE dans les entreprises. Elles pourront également évoquer des pratiques moins visibles, en apparence peu liées au cadre du numérique responsable, mais qui pourtant articulent numérique et questions socio-environnementales : « travailleurs du clic » pour les IA (Casilli 2019), « travailleurs du dernier kilomètre », « maraudes numériques » (Quiblier, Poncet-Bernard 2022), ateliers de réparation (Nova, Bloch 2020), installations d’infrastructures (Cellard, Marquet 2023), etc. L’objectif est ici d’observer la diversité de l’évolution des pratiques professionnelles pour comprendre la transformation d’un champ professionnel.

Calendrier

  • 31 juillet 2024 : Échéance de réception des propositions de communication
  • 26 août 2024 : Notification d’acceptation de la proposition
  • 1er octobre 2024 : Tenue de la journée d’études

Les participants et participantes sont invités à soumettre une proposition de 3000-3500 signes (bibliographie non comprise). Les résumés préciseront l’ancrage disciplinaire, la question de recherche, les méthodes adoptées, les matériaux empiriques et les résultats de l’analyse. Les interventions pourront prendre la forme d’une analyse théorique ou d’un retour d’expérience. Elles sont à envoyer à msevero@parisnanterre.fr et emourati@parisnanterre.fr.

La journée d’études est organisée par le laboratoire Dicen-IdF et l’Université Paris Nanterre en collaboration avec le Catalyseur de l’innovation et de l’entrepreneuriat de Paris Ouest La Défense.

Elle se tiendra au Catalyseur de l’innovation et de l’entrepreneuriat de Paris Ouest La Défense : 110, esplanade du Général de Gaulle, 92400 Courbevoie.

Comité d’organisation :
Eleni Mouratidou, Dicen-IdF, Université Paris Nanterre
Marta Severo, Dicen-IdF, Université Paris Nanterre
Mathilde Vassor, Dicen-IdF, Université Paris Nanterre
Romain Vindevoghel, Dicen-IdF, Université Paris Nanterre

Bibliographie

BERTHOUD, Françoise et PARRY, Marianne, 2010. « Évaluation des impacts environnementaux de l’informatique. Quels outils ? Quelles limites ? », Terminal. Technologie de l’information, culture & société [en ligne], n° 106‑107. DOI : https://doi.org/10.4000/terminal.1794 [consulté le 21 juin 2024].

BONNET, Emmanuel, LANDIVAR, Diego et MONNIN, Alexandre, 2021. Héritage et fermeture : une écologie du démantèlement. Paris : Éditions Divergences.

CARNINO Guillaume et MARQUET Clément, 2018. « Les datacenters enfoncent le cloud : enjeux politiques et impacts environnementaux d’internet », Zilsel, n° 3, p. 19-62.

CASILLI, Antonio, 2019. En attendant les robots. Enquête sur le travail du clic. Paris : Seuil.

CELLARD, Loup et MARQUET, Clément, 2023. « Frictions sous-marines », Revue d’anthropologie des connaissances [en ligne], vol. 17, n° 4. DOI : https://doi.org/10.4000/rac.31070 [consulté le 28 mai 2024].

CHABANNE, Simon, COUILLET, Romain, BOURMONT, Céleste DE, DEMARS, Pierre-Thomas, GIRARD, Valentin, HODENCQ, Sacha, MIGNEREY-KOELSCH, Julie et POISSONNIER, Grégoire, 2023. « Les impacts sociaux du numérique, grands oubliés de la transition écologique ? », GRETSI 2023, 1 septembre 2023.

COUILLET, Romain et POISSONNIER, Grégoire, 2023. « Pourquoi et comment démanteler le numérique ? », GRETSI 2023, 1 septembre 2023.

FLIPO, Fabrice, DOBRÉ, Michelle et MICHOT, Marion, 2013. La face cachée du numérique. L’impact environnemental des nouvelles technologies. Montreuil : L’Échappée.

FLIPO, Fabrice, 2020. L’impératif de la sobriété numérique : l’enjeu des modes de vie. Paris : Éditions Matériologiques.

HARDY, Antoine, SAINT-MARTIN, Arnaud et DIMINESCU, Dana, 2023. « La frugalité contre l’extractivisme ? », Socio. La nouvelle revue des sciences sociales, n° 17, p. 9‑31.

HILTY, Lorenz, LOHMANN, Wolfgang et HUANG, Elaine M., 2011. “Sustainability and ICT – An overview of the field”, Notizie di POLITEIA, n° 104, p. 13-28. DOI : 10.5167/UZH-55640. [Consulté le 28 mai 2024].

KRIEG-PLANQUE, Alice, 2009. La notion de «formule» en analyse du discours. Cadre théorique et méthodologique. Besançon : Presses Universitaires de Franche-Comté.

LOPEZ, Fanny, 2022. À bout de flux. Paris : Divergences.

MONNIN, Alexandre, 2023. Politiser le renoncement. Paris : Divergences.

MONNOYER-SMITH, Laurence, 2017. « Transition numérique et transition écologique », Annales des Mines − Responsabilité et environnement. N° 87 (3) : 5.

NEVEU, Érik, 2022. Sociologie politique des problèmes publics. Paris : Armand Colin.

NOVA, Nicolas et BLOCH, Anaïs, 2020. Dr. Smartphones: an ethnography of mobile phone repair shops. Lausanne : IDP.

QUIBLIER, Agathe et PONCET-BERNARD, Valentine, 2022. « L’aller-vers numérique, un outil pour les associations communautaires travaillant auprès des travailleur.se.s du sexe », Cahiers de l’action, vol. 2, n° 59, p. 44‑54.

RAGUENEAU, Olivier et SABBAGH, Audrey, 2024. “From carbon to meaning: Experimenting for sustainable science”, One Earth, vol. 7, n° 5, p. 747‑750.

RASOLDIER, Aina, 2024. Comment évaluer le potentiel d’une solution numérique face à l’urgence écologique? Application aux plateformes de covoiturage régulier à l’échelle locale. Thèse de doctorat en Informatique. Grenoble : Université Grenoble Alpes.

[1] https://www.greenit.fr/definition/

[2] https://ecoinfo.cnrs.fr/le-gds-ecoinfo/

[3] https://www.info.gouv.fr/upload/media/content/0001/08/aa02e4ccab062c11ac19387b055e539b5401bec9.pdf

[4] https://www.info.gouv.fr/upload/media/content/0001/08/aa02e4ccab062c11ac19387b055e539b5401bec9.pdf

[5] https://librairie.ademe.fr/consommer-autrement/5818-le-guide-de-la-communication-responsable-nouvelle-edition-enrichie-9791029715730.html

[6] https://www.cap-com.org/actualit%C3%A9s/retour-sur-le-rendez-vous-du-numerique-dinteret-general

[7] Lean ICT : pour une sobriété numérique, rapport du groupe de travail dirigé par Hugues Ferreboeuf pour le think tank The Shift Project, 2018.